15 février 2011
Kaboul, épicentre de l'équilibre politique mondial
Par Lili Galipette
"
- À quoi pensais-tu en appuyant sur la détente ? demanda Oussama. -
À appuyer sur la détente. "
(p. 9) Dès les premières lignes, on rencontre Oussama Kandar,
commandant en chef de la brigade criminelle de Kaboul,
un homme qui ne s'en laisse pas compter. Appelé sur les lieux d'un
suicide, Oussama Kandar est dubitatif. Le cadavre de Wali Wadi n'est
pas celui d'un suicidé, il s'agit d'un meurtre. "
Ceux qui parvenaient à échapper aux attentats, aux gangs, aux
règlements de compte, aux crimes... [Lire la suite]